lundi 25 mars 2019

Roma


En automne dernier j'avais traduit quelques contes tziganes pour un futur recueil, voici deux
des illustrations qui accompagnent le texte. Il s'agit des contes populaires, racontés au bord
de la fleuve Danube-Drava. Pendant mes recherches j'avais découvert des traits fort intéressants
et bien différents de notre façon de construire, d'utiliser les contes pour un certain but éducatif.
Juste pour énumérer quelques-uns;




Les événements ne sont pas détaillés, ils sont vite énumérés. Le narrateur mélange les aventures
de différents contes, la linéraité, l'évolution de la personnalité, la moralité n'a pas d'importance,
l’important est que le public soit émerveillé par des aventures vivantes. L'ordre des actions n'est pas
figé, il arrive même que le conteur ne rédige pas la fin, ou que ce soit une fin bien différente de celle
à laquelle nous sommes habitués. Les contes tziganes ne sont pas hostiles à des fins tristes dans
lesquelles le protagoniste principal peut mourir. 

Un autre découvert fort intéressant: parmis les contes j'avais trouvé l'histoire de la fille (cachée sous
le tronc coupé), que nous avons pue voir dans le film de Kusturica (Chat noir, chat blanc, 1998).




Ősszel cigány meséket fordítottam, illusztráltam. Próbáltam fellelni a lehető legszélesebb repertoárt,
így leltem rá Nagy Olga, Vekerdi József elemzésére is, melyben bemutatják a cigány mesevilág
legfőbb tulajdonságait, építkezését, szóhasználatát, a mesemondó célját, melyek mind-mind eltérnek
az elvárásainktól, az általunk megszokottól. Érdekes részletekre is bukkantam; egy szökőkútra, amiből
olaj folyt, igen, igen, most biztosan eszetekbe jutott a Macskajaj c. film, a benne szereplő menyasszonyt,
aki a fatörzs csonkja alá bújt, őt is felismertem a Dráva menti kalandozásaim során.

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